Pas 4 mains

2 pianos

1 face à face

104 touches blanches et 72 touches de noir partagées en proportions variables entre deux hobos orpailleur.euse.s de mots et leurs quatre mains rebelles au piano.

25 chansons qui longent une allée de grands chênes et un jardin de ronces, où l’on croise  une pensée-fougère arborescente et une étoile en fuite.

Où l’on revit en mer toutes les odyssées, par les courants contraires ou aux grandes marées.

Pour de l’humain retrouver la boussole.

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Création 2024 : Les Fabriques/Ville de Nantes, le TNT

Durée : 1h15

Delphine Coutant et Hugues Pluviôse créent leurs chansons depuis une vingtaine d’années. Leur complicité artistique les a amené.e.s à partager plusieurs fois la scène à leurs débuts, puis à tracer leur route chacun.e de leur côté. A l’occasion de la sortie de “2 systèmes solaires” et  “Marcher longtemps” - leur nouvel album respectif - elle et il se retrouvent sur scène pour croiser à deux voix et deux pianos les chansons de 11 albums réalisés depuis 1999.

Hugues Pluviôse

Salué par la presse (Libération, Les Inrocks, Télérama) et reconnu par ses pairs (duo avec Dominique A), auteur de 5 albums solo, Hugues Pluviôse est aussi musicien arrangeur sur les deux premiers albums de Delphine Coutant. Il a écrit la chanson Les hommes libres, emblématique de leur duo.

Delphine Coutant

Trobairitz (femme troubadour) du XXIème siècle, poétesse, compositrice, musicienne Découverte du Printemps de Bourges, Delphine Coutant est l‘auteure de 6 albums solo. Sa rencontre avec Hugues Pluviôse est décisive dans son choix d‘une vie consacrée à la création artistique. Elle est connue en France et en Espagne pour ses spectacles sur l’eau où elle chante sur un piano à queue flottant.

“Les hommes libres” - Zik Zag - 2006

Distribution

 

Hugues Pluviôse : piano, chant

Delphine Coutant : piano, chant

Régisseur son : Olivier Ménard

Ecriture et Composition : Delphine Coutant, Hugues Pluviôse


Photographies : Denis Rochard

Maquillage : Sylvie Aubry

Graphisme : Virginie Douay

Production : Comme le café